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Laurent Gbagbo était très serein car, il était clair aux yeux de tout observateur sérieux et objectif que les résultats certifiés par les Nations unies n’était pas les bons. Mais c’était à tord pour Laurent Gbagbo de croire que justice logique sera faite; Car pour la Communauté internationale avec pour bras séculier Nicolas Sarkozy et la diplomatie française, cette élection ne peut avoir qu’un seul résultat acceptable : la victoire d’Alassane Ouattara.

Des membres de la garde présidentielle camerounaise se soulèvent contre le président Paul Biya afin de ramener au pouvoir l’ex-président, Ahmadou Ahidjo. La révolte, qui fait des centaines de morts, est écrasée par l’armée après trois jours de combats. Avant la victoire de l’armée les membres de la garde présidentielle avaient réussi à investir l’aéroport, la Maison de la radio et avançaient même déjà vers le Palais présidentiel.